Sept-Îles, naturellement fière! - page 10

Plusieurs milieux humides sont utilisés de façon récurrente
par la population septilienne. Pensons seulement
aux marais de l’embouchure de la
rivière Brochu (1)
qui protègent la flèche de sable.
Cette dernière permet la pêche au capelan au printemps
à la tourbière de la
plaine Checkley (2)
et ses boisés qui abritent une faune aviaire
importante (en une seule journée, plus de 800 oiseaux aquatiques ont été recensés),
ce qui en fait un lieu de chasse à la sauvagine de qualité à l’automne. Et ce, sans
parler de son rôle de drain naturel contre la pollution et de sa capacité de favoriser
le dépôt des sédiments, dont les métaux lourds (ex. : mercure, plomb, cuivre).
Une fois déposés, ces métaux ne sont plus biologiquement disponibles.
aux milieux humides du
parc Aylmer-Whittom (3)
qui en font un lieu magique
pour la promenade
aux milieux humides du
Petit-Havre de Matamec (4)
qui permettent de côtoyer
la faune et la flore sur un sentier aménagé de 5 km.
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©
Virginie Provost
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Caroline Cloutier
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Aurore Perot
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Stéphane Guérin
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